Avec ses voies élargies et son empattement réduit de 10 cm par rapport à son prédécesseur, ce roadster se montre aussi agile que facile. Toutefois dans l'effort, celui-ci nous est apparu moins incisif que le coupé 370Z, du fait de suspensions plus souples concédant davantage de roulis. Le nouveau 6 cylindre 3.7 à distribution variable issu du coupé est du pur plaisir. Si, à l'instar du châssis, ce bloc de 331 ch privilégie la souplesse à la brutalité, il délivre de savoureuses montées en régime dont on profite pleinement décapoté. Il devrait permettre à la Z de signer des chronos honorables, proches de ceux du coupé qui parcourt le 0 à 100 km/h en 5,3 s. La transmission automatique à 7 rapports convainc quant à elle par sa réactivité et sa rapidité en mode manuel, mais les puristes lui préféreront la virile boîte mécanique ferme à souhait. Comme sur le coupé, celle-ci effectue elle même de parfaits talon-pointes grâce à sa fonction "SynchroRev Control". Côté tarif, la 370Z Roadster poursuit son numéro de charme. Avec son prix de 43 800 euros - soit un surcoût de 2 900 euros par rapport au coupé - elle reste largement plus accessible qu'une Audi TTS Roadster (+ 9 140 euros) ou qu'une Porsche Boxster S (+ 13 885 euros).
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